LA FRAYERE D ALOSES A AGEN LA GRANDE FOUTAISE

Pour percevoir des subsides de Bruxelles les "responsables"  de la soit disant frayère d'aloses nous ont pondu une nouvelle législation ils nous interdisent de pecher fermeture totale du 1juin au 31 juillet ET PUIS QUOI ENCORE !!!!!!!!

Cette frayère etait une frayère par défaut on y péchait les aloses sans problème..

Je rappelle à ces messieurs que pour être valable une réserve de pèche les panneaux doivent implantés sur les deux rives. Ce n’est pas le cas, donc votre réserve est illégale. (ils les ont mis depuis la parution de l'article)

D’autre part les rives de Garonne étant pratiquement inaccessibles priver les pêcheurs un mois après l’ouverture des rares endroits accessibles est un non sens.

MESSIEURS VEUILLEZ RETIRER LES PANNEAUX MENTIONNANT L INTERDICTION

PROTÉGER L ALOSE OUI  NOUS PRENDRE POUR DES C… NON

                     LA VÉRITÉ SUR LA FRAYÈRE

Réserve Naturelle de la Frayère d'Alose

La grande Alose (Alosa  alosa), espèce emblématique du bassin de la Garonne, passionne depuis plusieurs générations. La vie des riverains était alors rythmée selon le cycle biologique de ce grand migrateur.

Pourtant, dès la fin des années 1970, la population de grandes Aloses semble péricliter et une réelle menace pèse sur le devenir de cette espèce. La dégradation de la qualité des eaux, l’extraction de granulats en lit mineur et l’implantation de barrages, obstacles à la migration, mettaient en danger cette espèce patrimoniale.

Le classement d’une des dernières frayères caractéristiques de Grande Alose s’imposait donc, et la Réserve Naturelle de la Frayère d’Alose voyait le jour le 13 mai 1981.

Depuis 1986, l’Association pour la Gestion de la Réserve Naturelle de la Frayère d’Alose assure un suivi annuel de la migration et de la reproduction de la Grande Alose en moyenne Garonne. De grandes avancées se sont produites avec notamment l’équipement des barrages en dispositifs de franchissement (Golfech : 1987, Beauregard : 1994) et l’interdiction d’extraire les graviers dans le lit mineur de la Garonne (1993). La population d’aloses qui s’était relativement bien maintenue jusqu’à la fin des années 1990 connaît, pour la deuxième fois de son histoire, des heures sombres...

L’explosion L’usine AZF de Toulouse le 21 septembre 2001  a fini de détruire la faune piscicole de Garonne les eaux de lavage du site étant partis directement au fleuve.

L’alose disparue oui, mais il n’y a pas qu’elle ? Les barbeaux, les gardons, les vandoises, les rotengles, les anguilles et même les mulets qui eux ne venaient pas pour pondre mais pour manger et qui remontaient la Garonne par milliers ne viennent plus nous voir seul quelques bancs épars ici ou là. La moule d’eau douce  (Anodonte) disparue totalement de la Garonne assurait la reproduction de la bouvière.

La pollution n’explique pas tout. De toujours on a dragué la Garonne et cela n’a jamais eu de grosses conséquences sur la reproduction de aloses et autres poissons, ce qui empêche la reproduction c’est que d’une part il n’y a plus de granulats qui circulent et que le peu qui reste et colmaté pat le limon surtout en a aval du barrage de Beau-Regard il suffit pour s’en rendre compte d’aller se promener sur la plage.

Cet envasement et du en grosse partie aux arbres et la végétation qui croissent sur les berges et empêchent la libre circulation de l’eau..

La Frayère d’Alose voyait le jour le 13 mai 1981. Réserve ministérielle  oui mais en fait la frayère jadis se trouvait plus en aval au lieu dit connu des anciens sous le nom de : (La grande pêche) Site qui était exploité par un pêcheur professionnel qui a tôt fait de comprendre qu’il était plus rentable d’aller pêcher devant le barrage (à aiguilles) de Beau-Regard. LES ALOSES NE POUVANT LE FRANCHIR IL FONCTIONNAIT ENCORE. Et c’est a cause de cela que les aloses frayaient en aval peu de poissons arrivaient à franchir le barrage par la passe ouverte rive droite. EN FAIT LES ALOSES FRAYAIENT PARTOUT OU IL Y AVAIT DU GRANULAT PROPRE. Il en est de même  pour toutes les frayères sur granulats.